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    Nobody Saves The World

    Nobody Saves The World : Un action-RPG loufoque et maîtrisé par les créateurs du metroidvania Guacameleе
    May 7, 2025No Comments8 Mins Read
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    Populaire sur la scène des jeux vidéo indépendants (notamment pour les deux excellents metroidvania Guacamelee), DrinkBox Studios fait son grand retour en 2022 avec Nobody Saves The World, un action-RPG / dungeon crawler relevé d’une pointe de rogue-lite et surtout d’humour. Le titre compte une vingtaine de héros loufoques jouables, allant de l’Oeuf à la Tortue, en passant par la Limace, la Jument. Une blague séduisante et assez bien menée pour maintenir de l’intérêt à la longue ?

    Test réalisé sur PC. Nobody Saves The World est aussi disponible sur Xbox One et Series (via le Game Pass).

    Avec les deux épisodes de, DrinkBox Studios s’est fait une spécialité de mêler univers décalé et système de jeu réussi. Pour cette fois, sur leur nouveau titre, le metroidvania laisse place à de l’action-RPG, dungeon crawler / rogue-lite. Un sacré changement pour l’équipe canadienne, qui parle du soft comme de son “plus gros projet”. L’ambition est là : faire cohabiter un système de transformation complexe (dix-huit formes au total) avec un vaste monde ouvert, différents donjons et personnages. À commencer par le héros principal, qui est littéralement “personne” comme le jeu le dit lui-même. Un petit être tout blanc qui tombe par hasard sur une baguette magique, capable de le transformer à volonté. Coup de chance, il sait y faire avec les monstres, et s’engagera, plus ou moins consciemment, dans une quête pour sauver le monde. La Calamité menace et il faut retrouver les cinq parties d’un artefact capable de tout changer.

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    PLUS QU’IL N’EN FAUT ?

    Dix-huit formes, c’est beaucoup, et ça amène pas mal de questions. Sont-elles toutes aussi valorisées et agréables à jouer ? Quel est l’intérêt d’en avoir autant ? Nous allons bien sûr y répondre, mais il faut d’abord poser les bases. Dans Nobody Saves The World, tout ou presque tourne autour de la montée en niveau des transformations et du joueur. Chaque transformation dispose en effet de ses propres quêtes (“utiliser tel nombre de fois une attaque”, “toucher cinq ennemis avec ce pouvoir”) qu’il faudra terminer pour faire progresser la forme en question. C’est le seul et unique moyen de débloquer les pouvoirs et bonus actifs / passifs d’un même personnage. Ces quêtes rapportent également des points d’expérience au global, faisant monter le niveau général du joueur ainsi que les statistiques de chaque transformation – points de vie, force, magie, etc – de façon équivalente. Après des heures, un gros costaud restera par exemple toujours plus résistant que l’Oeuf.

    Surtout, réaliser ces “quêtes de formes” – au même titre que les quêtes glanées auprès des PNJ d’ailleurs – donnera un voire plusieurs “points de baguette magique”, ressource impérative pour progresser dans l’aventure. L’entrée des cinq donjons principaux, où vous trouverez les parties du fameux artefact magique, en requiert en nombre. Il est aussi possible d’en acheter quelques exemplaires chez le marchand du coin et en arrivant à bout des demi-donjons, mais ce sont en particulier les quêtes de formes, beaucoup plus nombreuses, qui servent à en récupérer. Avec son système de progression, DrinkBox Studios encourage, oblige le joueur à passer du temps sur chaque transformation. Le tout pourra sembler rébarbatif, mais ne l’est pas tant que ça dans les faits. Une douce routine s’installe, encouragée par un dernier détail important : faire évoluer chaque forme, d’un rang en six de “F” à “S”, permet de débloquer les autres héros jouables. L’un dans l’autre, on se prend au jeu.

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    CASTING 5 ÉTOILES

    Car si de prime abord les dix-huit formes ne payent pas de mine – surtout avec des choix aussi loufoques que le Rat, la Tortue ou le Culturiste -, leur potentiel se révèle petit à petit. À une ou deux exceptions près, les héros jouables de Nobody Saves The World sont suffisamment variés et maîtrisés pour justifier leur nombre conséquent. Il y a, parmi d’autres, la Jument, dont le coup de sabot (qui demande de se placer dos à l’ennemi) sert à pousser puis cogner un vilain contre un mur. Ou encore le Moine, capable de réaliser un combo de trois attaques et une bulle d’énergie s’il concentre son pouvoir. Plus précisémment, les pouvoirs spéciaux, plus puissants, demandent de la mana. Mais le seul moyen d’en récupérer, c’est de frapper des méchants ou des objets avec le coup de base. S’installe donc un joli mélange de “risque / récompense” commun à tout le casting. Au global, on s’étonne de se prendre d’affection pour chaque créature, au design coloré, décalé et très soigné.

    A deux, c’est mieux ?
    Information non-négligeable : Nobody Saves The World embarque un mode coopération jusqu’à deux joueurs en ligne, que ce soit pour une courte séquence de jeu ou la totalité de la campagne. Dans le cadre de ce test, nous n’avons pas eu l’occasion d’essayer cette partie du jeu, mais DrinkBox Studios affirme que le tout permettra aux joueurs de garder leur progression et d’exploiter des synergies entre plusieurs formes.

    Surtout que passer du temps en leur compagnie est récompensé. Au cours de leur progression, les formes reçoivent deux nouveaux pouvoirs actifs, soit trois attaques au final sans compter les bonus passifs. D’une, aucune de ces techniques ne nous a semblé jeter à la va-vite ou manquer d’intérêt. De deux – cerise sur le gâteau -, ce large choix d’attaques et d’améliorations (près de 80 au total) peut être échangé entre personnages. Autrement dit, il est possible de lancer des flèches avec la Jument, tirer des missiles avec l’Escargot ou cracher du feu avec la Tortue. Une seconde approche du système de jeu qui se débloque assez tôt mais qui ne désamorce pas l’envie de changer, débloquer des transformations. Comme écrit plus haut, les quêtes de formes – qui encouragent à terme à mélanger les sorts – restent le meilleur moyen d’avancer. Enfin, notez que les personnages se débloquent de manière fluide et régulière tout au long du soft (environ 20h).

    DONJONS ET DRAGONS

    Cela paraît presque contre-intuitif, mais Nobody Saves The World n’encourage pas le changement de personnage lors d’un gros combat. Cela reste toutefois techniquement possible, via une “roue des formes” qui affiche en plein jeu une dizaine de choix. Pas de raccourci plus rapide, comme avec les gâchettes ou la croix directionnelle par exemple. Et on a vite fait de se faire avoir par le décalage de points de vie entre les formes. Ce qui n’est pas vraiment conseillé dans les donjons, où la mort vous ramènera à la porte d’entrée, vous faisant perdre votre progression (à moins d’atteindre un téléporteur juste avant le boss). Au moins vous êtes prévenus.

    Dans le jeu de DrinkBox Studios, il ne faut donc pas compter sur la complémentarité des héros mais sur celle de leurs pouvoirs. Surtout dans les principaux donjons, où la difficulté – qui se traduit grossièrement par plus d’ennemis – est plus élevée, et où il faut souvent briser des boucliers ennemis avec le bon type de coup (ténèbres, lumière, contondant) avant d’infliger des dégâts. Ces endroits obligatoires requièrent souvent deux à trois niveaux au-dessus de celui recommandé. Et c’est là que les demi-donjons, générés aléatoirement, entrent en jeu : à l’inverse des gros temples, ces cryptes permettent de poursuivre les quêtes de forme. C’est l’endroit idéal pour farmer, bien plus efficace que les balades à pied. Il y a près de 20 demi-donjons en tout.

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    Comme dans pas mal de rogue-lite, on repère assez rapidement les briques élémentaires de ces zones, même si elles profitent toutes de modificateurs et d’identités différentes (des entrailles d’un dragon à un temple d’or). Leur structure reste donc plutôt simple au fil l’aventure, souvent avec quelques étages et des couloirs fermés par une clé ou un compteur de monstres à abattre. Une construction très sobre que partagent hélas les donjons principaux, quand bien même ils ne sont pas générés aléatoirement. Pas d’énigme ou de vrai élément qui distingue ces temples du reste, hormis un boss en fin de parcours et quelques cutscenes. Pour finir, étant donné que les quêtes de formes y sont interrompues, on a vite l’envie de foncer et d’oublier les créatures.

    STYLE DE PERSONNE

    D’ailleurs, tant qu’on parle des cinématiques : le style visuel de DrinkBox Studios est peut être tranché mais il a le mérite d’être reconnaissable et surtout cohérent. Pour notre part, nous avons adoré l’imagerie de Nobody Saves The World ainsi que sa galerie de personnages hauts-en-couleur. Adjectif qui pourrait aussi s’appliquer à l’écriture, drôle et souvent réussie. Pendant l’aventure, le joueur aura plus d’une fois l’occasion de la constater en croisant du monde. Les routes du titre font la part belle aux curiosités en tout genre et aux secrets, les différentes formes permettant d’atteindre de nouveaux endroits, notamment celles capables de nager (la Sirène, la Tortue) et de petite taille (le Rat, la Limace). On en aurait toutefois aimé un peu plus sur ce point, tout comme sur la manière dont l’univers réagit aux formes, pendant les quêtes et dialogues. Nobody Saves The World donne parfois l’impressionn de ne pas aller au bout des choses, mais offre une belle aventure malgré tout.

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